Les agriculteurs en première ligne
Afin de protéger davantage les exploitants agricoles affectés par les événements climatiques, un nouveau dispositif d’assurance récolte sera mis en place au 1er janvier 2023. En effet, le dérèglement climatique n’a cessé de s’accélérer ces dernières années. Avec la multiplication des aléas climatiques, les agriculteurs sont en première ligne, entre sécheresses, ou à l’inverse épisodes de gel ou de grêle.
« L’objectif est clair : donner toute sa force à la future couverture universelle et rendre la couverture assurantielle réellement attractive, explique Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances. Grâce au soutien majeur de l’Etat, nos agriculteurs seront mieux protégés et notre agriculture sera plus forte ».
« L’objectif est clair : donner toute sa force à la future couverture universelle et rendre la couverture assurantielle réellement attractive, explique Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances. Grâce au soutien majeur de l’Etat, nos agriculteurs seront mieux protégés et notre agriculture sera plus forte ».
Une couverture universelle face au risque climatique
« La couverture universelle et accessible à tous face au risque climatique est un engagement fort pour nos agriculteurs qui sont en première ligne face aux conséquences du changement climatique », estime Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture. Désormais, les aléas significatifs seront pris en charge par l’assurance subventionnée, pour les agriculteurs ayant fait le choix de s'assurer. Les aléas exceptionnels déclencheront une intervention de l’État, y compris pour les agriculteurs non-assurés.
Quant aux aléas courants, ils demeureront assumés par les agriculteurs, qui peuvent par ailleurs s'appuyer sur d'autres dispositifs (comme ceux du plan de relance) pour investir dans du matériel de protection pour leur exploitation face aux aléas climatiques.
Quant aux aléas courants, ils demeureront assumés par les agriculteurs, qui peuvent par ailleurs s'appuyer sur d'autres dispositifs (comme ceux du plan de relance) pour investir dans du matériel de protection pour leur exploitation face aux aléas climatiques.